À Oxford, une découverte récente a suscité l’étonnement et la curiosité de tous. En 2025, un rituel inhabituel impliquant l’utilisation d’un crâne humain a été mis en lumière, provoquant des réactions variées au sein de la communauté académique et au-delà. Ce phénomène intrigant soulève de nombreuses questions sur les pratiques culturelles et historiques qui persistent dans notre société moderne.
Comment un tel objet a-t-il pu être intégré dans un rituel contemporain ? Quels secrets du passé pourrait-il révéler ? Plongez dans cette histoire fascinante qui défie les conventions et explore les mystères entourant cet artefact singulier.
Découverte et révélation du calice macabre
Une récente enquête a mis au jour l’utilisation choquante d’un calice fabriqué à partir du crâne d’une femme asservie, utilisé pendant des décennies par des universitaires d’Oxford. Ce sinistre artefact, exposé lors de dîners formels, souligne l’héritage persistant du colonialisme et les pratiques controversées au sein de l’université.
Le livre “Every Monument Will Fall” révèle que ce calice, orné d’une bordure en argent, proviendrait probablement d’une femme asservie dans les Caraïbes il y a 225 ans. Cette découverte met en lumière la déshumanisation inhérente au colonialisme, tout en soulevant des questions sur la manière dont ces objets sont traités aujourd’hui par les institutions académiques.
Parcours et héritage du calice
Le calice, dont l’origine remonte à une femme asservie des Caraïbes, a traversé les mains de plusieurs propriétaires britanniques avant d’être acquis lors d’une vente aux enchères chez Sotheby’s. Orné d’une bordure en argent et accompagné d’un socle en bois, il porte une inscription commémorant le couronnement de la reine Victoria en 1838.
Ce sinistre objet, autrefois utilisé comme vaisselle lors de dîners universitaires, symbolise la dévalorisation de la vie humaine sous le colonialisme. Le professeur Dan Hicks, dans son ouvrage, souligne comment cet artefact est devenu un emblème de pouvoir, tout en étant un rappel troublant des pratiques coloniales. Aujourd’hui, il repose dans les archives d’Oxford, inaccessible au public, préservé avec respect.
Effacement de l’identité et symbolisme du pouvoir
Le calice, en tant qu’objet de collection, incarne la déshumanisation et l’effacement identitaire imposés par le colonialisme. Le professeur Dan Hicks souligne que les propriétaires britanniques successifs ont effacé l’identité de la femme à qui appartenait ce crâne, transformant ses restes en un symbole de prestige et de domination.
Ce processus de réappropriation illustre comment des artefacts humains ont été utilisés pour renforcer des hiérarchies raciales et sociales. L’histoire de cet objet met en lumière la manière dont le colonialisme a non seulement exploité des vies humaines, mais a également cherché à effacer leur histoire et leur dignité, laissant derrière lui un héritage de racisme institutionnalisé et de pouvoir inégal.
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